Les Terres de Vanaâ
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Bienvenue sur notre humble forum RpG. Totalement dédié à la détente, au jeu et à l'écriture, c'est avec plaisir que nous vous guiderons à travers les terres de Vanaâ, pour que vous puissiez en toute liberté y laisser s'épanouir votre plume.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

 

 Xeïwan

Aller en bas 
AuteurMessage
Xeïwan

Xeïwan


Messages : 143
Date d'inscription : 24/06/2011
Age : 31
Localisation : Si je ne suis pas là, c'est que je suis parti.

Feuille de Personnage
Classe: Mage
Alignement: Loyal Bon
Niveau:
Xeïwan       Left_bar_bleue1/10Xeïwan       Empty_bar_bleue  (1/10)

Xeïwan       Empty
MessageSujet: Xeïwan    Xeïwan       EmptyMer 12 Oct - 20:22

=>Votre Personnage :

Nom : Vakkarian

Prénom : Xeïwan

Surnom : Aucun

Âge : 45 ans Oïmaï, 26 ans humain

Race : Oïmaï

Lieu d'origine : Dwanb'eï

Description physique : De constitution solide, je mesure près d'un 1m85. Mes cheveux bruns mi-longs cascadent en toute liberté sur mes épaules, mes pommettes saillantes, mes yeux bleu marine et mes sourcils froncés peuvent, paraît-il, me donner un air sévère. Je trouve l'ensemble plutôt harmonieux, moi personnellement. Je ne porte pas la barbe ni la moustache, j'ai horreur de la sensation de démangeaison que cela provoque. Mon visage n'est pas parfait, mes joues sont un peu creuses par rapport à mes pommettes, mais l'ensemble est harmonieux. Je trouve. Il faudrait demander son avis à une femme. Elle serait plus à même de juger. Ou encore toi lecteur. Qu'en dis-tu ? Je ne suis pas moche, si ? Il est honteux pour moi d'évoquer cela, mais il se trouve dans mon dos deux longues cicatrices anguleuses : c'est la marque de mes ailes, désormais coupées. Dernière précision, j'aime bien mon sourire. Mais bon, cela n'avance que moi, encore une fois.

Histoire : Ohlàlà, je dois vous raconter mon histoire ? Ma personne ne devrait pas vous intéresser. Après tout, je ne suis qu'un homme, un composant, un tout petit composant de la Glorieuse Histoire Universelle, bien que je sois l'un des grands Oïmaï. Je n'ai rien d'intéressant à raconter, cela va vous ennuyer plus qu'autre chose, et de toute façon, vous me dérangez. Je fais le repas là, ça ne se voit pas ? Quoi, vous voulez tout de même savoir ?...Oh oui après tout, il se peut que je devienne quelqu'un, j'espère, que moi-même personnellement je ne serais pas rien. Si ce n'est pour le monde, ce sera aux yeux d'une autre personne, une fille peut-être, une jolie fille qui me verra comme un héros, ou quelqu'un d'intéressant, une fille aux cheveux mi-longs, tirants sur le châtain, peut-être un peu excentrique, et ses yeux seraient ... Bref, je m'égare. Autant que je couche sur pixel mon histoire, celle qui a menée ma vie jusqu'ici. Par où dois-je commencer ? Ah oui, couper les légumes en fine tranche, et ensuite les mettre à frire...

En réalité, je ne suis pas homme, au sens humain, mais à l'origine, j'étais un Oïmaï. Non, vous ne voyez pas mes ailes, pour une raison très simple : on me les a arraché. Ce simple fait à la fois fonde, résume, et explique ma vie actuelle. Né dans la majestueuse cité volante de Dwanbeï, parmi les fiers, honorables, forts et puissants Oïmaï, je fus choyé dans ma grande famille composée de deux frères et deux sœurs. Mon enfance a été heureuse, je ne manquais de rien, venant d'une famille "noble". Je nuance ce terme, car en fait, "noble" signifie que ma ligné a toujours donné des guerriers et des mages valeureux au service de la communauté. Alors ensuite, une poignée de sel... Une poignée ? Non, une pincée, d'accord ok...

Ah ! Que de rêves je nourrissais alors ! Devenir un puissant guerrier, un héros au service de la cité ! Ou un mage respecté, qui fera avancer la magie et le train de vie des habitants ! Je ne savais rien alors, que tout cela me serait refusé. Vivant ignorant de mon avenir, je m'amusais autant que possible, et je dévorais les livres les uns après les autres. Ma soif de connaissance était immense. J'ai lu des livres sur des tas de sujets divers, sur la forge, la magie, la navigation, l'histoire, les runes, la cuisine, ...
Alors, ma petite sauce, une mesure de sucre, un peu d'eau, huile ...

Personne n'aurait pu prévoir ce qui se passa à la détermination. Ce rituel permettait de savoir si nous avions de la magie ou pas, et si on en a, alors quelles dispositions avions-nous. Un prisonnier était attaché à un poteau, dans une cour. Les jeunes Oïmaï, passant tour à tour devant lui, concentraient de la magie brut et la lançaient sur le prisonnier. Les effets indiquaient quelle était la nature de notre pouvoir. Mon frère n'avait montré aucun talent ce jour-là, et Vinaya, une fille qui passait juste avant moi, avait tué le prisonnier. Son cadavre poussé sur le coté, on en fit venir un nouveau. C'est vraiment un système ingénieux, tradition Oïmaï pur jus, le prisonnier contribue au développement des jeunes Oïmaï, et nous on libère de la place dans les prisons. Bien entendu, ceux qui passent au poteau sont des prisonniers non-Oïmaï, nous ne sommes pas des barbares. Lorsque vint mon tour, ce qui se passa me fit croire à un cauchemar. Je concentrais ma magie, que je sentais au fond de moi. Je la lançai... et rien ne se passa. Le prisonnier était en pleine forme. Le problème, c'est que le cadavre aussi avait l'air en forme. Le prisonnier mort se releva, et commença à bouger dans ma direction. Les deux gardes Oïmaï présents se précipitèrent pour découper en morceau cette hérésie, ce monstre. Ils me regardaient d'un air dégouté, ce qui me fit comprendre ce que je venais de faire. Horreur ! Ô rage ! Quelle honte ! Un adorateur de cadavres, un fou, un être des plus maléfiques se promenait en toute liberté dans la ville ! Plus pour longtemps. Et moi-même j'étais dégouté. Comment un être aussi pur que moi, un Oïmaï, ait pu être souillé par ce pouvoir ?!

Attendez deux secondes, je dois incorporer la crème dans... ah, voilà... Bref.
Je fus enfermé dans une cellule, en attendant que l'on débatte de mon sort. En tant que nécromancien inné, la peine encouru était la mort. Mais mes parents intervinrent en ma faveur, et demandèrent l'exil. Cela fut accepté. On arracha mes ailes après une cérémonie d'humiliation, où chacun de mes amis, de mes professeurs et des membres de ma famille devaient arracher un morceau de ma tunique, pour bien montrer mon exclusion définitive. Mes frères et sœurs ne purent s'y résoudre, ni ma mère, mais mon père y alla de bon cœur. Et je lui en fut reconnaissant, mon châtiment était juste et mérité. La très équitable justice de ma race ne peut que prendre la meilleure des décisions.

Je fus déposé, ou jeté, selon les points de vue, aux abords Est de la forêt des environs de Dwanbeï. Lâché seul dans le vaste monde, sans formation, sans famille, sans emploi, sans aucune idée de ce que je devais faire, mes pas suivaient le vent. Ce dernier me portait là où les esprits avaient besoin d'aide. Je me mis à faire de mon gagne pain "l'exorcisme", comme dirait la populace. Car je ne chassais pas les esprits, non, je leur accordais le repos. Les âmes qui s'attardaient dans ce monde semblent toujours avoir une peine, un grief, un accident subit peu avant leur mort. Il fallait donc, assez souvent, assouvir les requêtes de justice des fantômes, puis ils partaient. J'avais honte de me servir de mes dons, mais c'était le seul moyen pour moi de vivre, et de pouvoir un jour me racheter de ma faute. On me payait assez bien pour cela, car cette plèbe est bien contente de se débarrasser de ceux qui furent un jour parmi eux. Si les morts, les êtres autrefois chers, nuisent aux affaires, alors ce ne sont que des nuisances. Décidément, ces gens, profondément utilitaristes, en viennent à privilégier de loin les affaires aux sentiments de leurs proches. C'est désolant. Où sont donc la solidarité et les valeurs que nous, Oïmaï, chérissons ?

AH MEERRDEE, LES LÉGUMES CRAMENT ! aah, je vais devoir recommencer la ratatouille. C'est de votre faute aussi, à me faire raconter cette histoire à la c... Bon, calme. Ou en étais-je ?

Mon aventure se transformais ainsi en étude sociale et anthropologique sur la faune composant la civilisation, les raisons de vivre, ce que peut supporter un mortel, son point de rupture; une question en particulier me fascinait : peut on vraiment choisir de se laisser mourir ? Un jour, j'ai rencontré l'esprit d'une femme morte. Un des nobles de Walaï avait violé cette jeune servante, et de cette union naquit un bel enfant mâle, robuste. Cette jeune femme, au lieu de détester ce bébé pour son ascendance ou pour le viol, choisit de l'aimer de tout son cœur. Mais le seigneur avait une femme stérile, donc point d'héritier à l'horizon. Ayant pris connaissance de l'existence de ce jeune et fort bambin, il l'enleva, et le présenta comme son héritier légitime. La servante était partagée : elle était heureuse que son fils soit élevé dans des conditions qu'elle n'aurait jamais pu atteindre, très angoissée à l'idée qu'il devienne comme son père, et anéantie car on le lui avait arraché. Finalement, sa vie lui paraissant inutile, elle dépérit doucement mais sûrement. Le jeune fils en question, aujourd'hui, gouverne à la place de son père mourant, et fait un seigneur bon et apprécié du peuple. Mais que peut-on tirer de cette histoire ? Tout d'abord, il semblerai que l'on puisse se laisser mourir ! Cela diffère complètement du suicide, où l'on agit contre son corps, contre la nature, et souvent même on regrette son geste quand il est trop tard. Non, le corps semble ici comprendre la volonté même de l'esprit. Rien que cette hypothèse soulève cent autres questions ! L'esprit commande-t-il à la chair ? L'esprit peut-il avoir une volonté indépendante du concret ? Le caractère du fils a-t-il quelque chose à voir avec l'éducation du père méchant ? Ou a-t-il de manière innée adopté le caractère bienveillant de sa mère ? Cela voudrait dire que l'âme de l'enfant est une copie influençable par l'éducation de celle de sa mère ? Mais encore, est-ce son âme ou son esprit ? Quelles différences ? Et pourquoi cette saloperie de crème ne veut pas s'incorporer dans la préparation ? Ces questions me tenaient éveillé des nuits entières, je réfléchissais à des réponses, qui n'apportaient que de nouvelles questions. Absolument passionnant, la mort, la vie, ... les deux sont une seule et même chose, et pourtant ces deux facettes d'une même pièce sont si différentes l'une de l'autre !

... la touche finale : un peu de venin inoffensif pour le piquant, et quelques épices...
Mon errance pris fin après une mission commune, après avoir accordé la paix à une pauvre âme en peine, un homme s'avança vers moi. Il s'était demandé qui prenait les contrats dans cette région, et m'avait suivi. Ayant reconnu mes capacités, il me proposa de me prendre comme élève. Sentant alors la joie m'envahir, j'acceptai avec le plus grand enthousiasme. Plus qu'aller étudier, ce qui me rendait joyeux était la fin de mon errance, il y avait enfin quelqu'un pour me dire quoi faire, et où aller...

Ma voie ! Des années à chercher ma voie dans notre magnifique ville pour finalement la trouver dans la fange, le sol si impur. Cet exil aura été finalement la meilleure chose qui me soit arrivé ! Depuis, ma soif de connaissance a trouvé de quoi s'étancher. Mon maître possède des tas de livres, m'enseigne quantité de choses. Et je pourrais peut-être trouver un moyen de me racheter, en accomplissant un exploit ! Être un nécromancien n'est pas vraiment ce à quoi je m'attendais. Beaucoup voient les nécromanciens comme des assoiffés de pouvoir, des "nécrophiles", des adorateurs de cadavre... Finalement je dois dire que mes frères se trompent sur le caractère d'un nécromancien. Mais pas sur la nature de leurs pouvoirs. Mêler la vie et la mort est un désordre absolu qui ne peut convenir à une société ultime et ordonnée qui est celle des Oïmaï. Mais de là à m'attendre à cela... Je dirais que les nécromanciens sont les plus grands philosophes que la terre ait porté ! à part les orcs. Les réflexions de Kamoran sur la vie, les raisons qui poussent à agir, les passions humaines, sont tout simplement passionnantes. Et les essais de Polokart sur les relations entre la vie et la mort, où s'arrête l'un et où commence l'autre, sur la reproduction, .... incroyable !

Ouhou, c'est trop bon ! Je suis un vrai cuistot moi ! haha...
Tant de questions qui me fascinent. Je développais alors mes propres réflexions. Mes deux domaines privilégiés étaient l'âme et l'esprit, ainsi que les systèmes sociaux et la place de la mort dans ceux-ci. Je passais alors, dans son antre, la majeur partie de mon temps le nez dans les bouquins, car la puissance, pour celui qui sait faire preuve d'humilité, se trouve dans la sagesse immémoriale que contiennent les livres poussiéreux. Après 6 ans d'apprentissage, je maîtrisais les signes de base, j'avais les bases de la langue de Kwabvaï, je maîtrisais quantité de notions et de savoir, et les fantômes n'apparaissaient plus contre mon gré. Mon maître me confia alors une quête, que je devrais accomplir avant de terminer ma formation.

- Disciple, il est temps de te parler de ta formation, dit-il.

- J'écoute, maître.

- Bien. Euh, non, tu ne m'écoutes pas, là, Xeïwan, arrête de battre le beurre... voilà, merci. Ya pas trente-six manières de le dire : ton apprentissage est terminé. Tu as toute la connaissance théorique qu'il te faut. Mais tu ne pourras plus progresser ici. Il te faut de l'expérience, l'occasion d'apprendre la pratique, ailleurs que dans les livres poussiéreux. C'est pourquoi je vais t'envoyer accomplir une quête. Deux en fait. Peut-être même trois... non, deux, j'irais chercher du café moi-même.

- Mais, je ... enfin, terminé ? Mais je ne maîtrise pas ...

- C'est avec l'expérience, te dis-je, que tu acquerras ces choses. De plus, tu es doué, assez doué pour devenir une liche. Tu as beaucoup de chance.

Alors ça ! J'étais sonné ! Jamais dans mes rêves les plus fou je n'avais pensé à devenir une liche ! D'abord débordé d'excitation, je fut pris ensuite d'un certain scepticisme, après tout aucune liche vivante, euh, morte, ..., existante n'était connue. Et même dans le passé, rares étaient ceux à être suffisamment chanceux à la naissance pour en devenir une.

- Avant de t'exciter le lulu, je dois te dire que je n'en suis pas certain. Je sais juste pour sûr que tu as un potentiel qui va bien plus loin que le mien, mais je ne connais pas ses limites. On verra quand tu feras le rituel. Si tu meurs, eh bien, c'est que t'avais pas le pouvoir pour, cher apprenti. (Gulp, j'avalai avec difficulté). Tu devras aller chez les nains. Eux seuls possèdent le savoir nécessaire à la fabrication d'une Urne. Je ne sais pas du tout ce que tu devras faire pour la fabriquer ou pour qu'ils acceptent. Mais là est la quête la plus simple. L'autre, bien plus difficile, consistera à trouver la légendaire Byon-Ten.

- La forteresse nécromante ? Datant de l'unification ?

- Celle-là même. Tous les progrès que nous avons fait en nécromancie ne sont en fait que des rattrapages du savoir que nous avons perdu, dans les profondeurs de Byon-Ten. Les plus puissants sortilèges, et surtout, le secret de la transformation, sont enfermés là-dedans.

- Aller chercher l'urne ne sera pas très difficile ..., commençais-je.

- HAHAhaha ! j'ai appris que rien n'est simple dans ce bas monde, Xeïwan. Tu veux juste aller à un rendez-vous galant, et finalement tu dois faire des trucs invraisemblables pour y arriver, genre sauver le monde. Non, récupérer l'urne sera déjà une tâche difficile. Alors sans parler de la forteresse. Si tu survis, ne reviens pas ici, si tu meurs, eh bien, tu ne pourras pas. Tu viendras me revoir quand tu te sera transformé, ou quand tu auras décidé de ne pas le faire. Enfin, il faut être stupide pour renoncer à l'immortalité, mais bon, ça, c'est mon point de vue. Certes, l'étape de transformation pue et est moche, mais un squelette, c'est la classe, et la puissance est trop bonne, et de toute façon ce serait con de faire une urne pour rien, et t'a de la chance, moi je peux pas me faire liche ... Bref, barre-toi et bonne chance ! Ta cuisine va me manquer. Snif.

...Ting ! Ah, la tarte est prête, je vous laisse cher lecteur !


Profil psychologique : Comment me décrire psychologiquement ? Très difficile, il faut sortir de soi-même pour observer d'un point de vue objectif sa vie et ses réactions, ce qui est impossible puisque nous voyons tout de façon subjective, et encore plus nos propres actions. Mais je peux déjà dire que je suis très fier de ma race, les Oïmaï, même si je suis moins fier de moi-même. Mon caractère est variable, je peux être très gentil mais aussi bien méchant avec les personnes que je n'apprécie pas. Hors du combat, je tend à éviter, justement, la confrontation.
Ma formation m'a procuré un goût pour la connaissance, une soif qu'il m'est impossible d'étancher. Tout m'intéresse, je voudrais analyser chaque chose. Et surtout, si il y a une chose que je regarde systématiquement dans les nouvelles contrées, ce sont les recettes de cuisine. A me lire, on dirait que je me passionne plus pour la cuisine que pour la nécromancie. Faux, je me passionne dans les deux domaines (à vrai dire, qui n'est pas heureux devant un repas appétissant ? fumant ? Car si un cadavre peut être fumant, il n'est jamais appétissant).
Je m'avancerais à dire que je suis d'un naturel doux, mes proches voudront peut-être me contredire, mais je pense l'être. J'adore les blagues et les gens qui ont le sens de l'humour. Je ne pense pas en manquer moi-même.
Bien que je sois très respectueux de codes moraux et des autres personnes, je n'hésite pas à faire ce qui me semble juste ou utile, selon mon point de vue, qui n'est pas celui des autres. Certaines choses peuvent paraître immondes à d'autres alors que pour moi il s'agît, par exemple, d'un acte pragmatique, efficace, ni bon ni mauvais.


Dernière édition par Xeïwan le Dim 11 Déc - 19:56, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Xeïwan
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Journal de voyage de Xeïwan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Terres de Vanaâ :: Les Tables de Loi de Vanaâ :: Les Aventuriers de Vanaâ :: Héros Acceptés-
Sauter vers: